Les règles spécifiques au monde onirique du Midjatt’

1/ Dans le monde des rêves, on ne dort pas.

Au lieu de dormir, les entités qui vivent dans le Midjatt’ (et les joueurs une fois qu’ils y seront)

Méditent. De même, dans le Midjatt’ la fatigue terrestre ne se fait jamais ressentir. Il est toutefois possible de ressentir une sorte de confusion mentale au bout d’un certain temps. Dans cette situation, une bonne méditation et tout redevient normal. Bien entendu, l’absence de sommeil signifie aussi que la crise onirique ne peut exister dans le Midjatt’.

2/ Le même, mais en meilleur.

Dans le Midjatt’, les joueurs verront qu’ils y sont plus adroits et plus rapides que dans le Zimmlaant, c’est-à-dire le monde réel où vivent les humains. Cela concerne également les entités. Selon l’entraînement des joueurs aux pratiques sportives et martiales dans le Midjatt’, ils peuvent conserver ses compétences quelques temps dans le monde réel.

3/ Guérison accélérée.

Dans le Midjatt’, les blessures physiques guérissent plus vite que dans le monde réel. Ainsi, une blessure qui aurait dû être fatale dans le Zimmlaant ne sera qu’une blessure grave dans le monde onirique. Le temps de guérison à proprement parler est laissé à la discrétion des joueurs. Approximativement, une blessure légère sera guérie totalement en deux jours. Une blessure grave (une balle qui traverse le corps) mettra une semaine pour être complètement rétablie.

4/ La mort dans le Midjatt’.

Les entités peuplant le Midjatt’ sont éternelles, même si l’amnésie de Saunitess leur a retiré les souvenirs les plus lointains. Elles peuvent néanmoins mourir. D’une malédiction ou des horreurs de la guerre. Ou même d’un simple accident. Dans ce cas, le corps disparaît peu de temps après le décès. Celui-ci se transforme progressivement en poussière lumineuse qui se dispersent rapidement. Cela ne concerne pas les humains venant du monde réel. A moins que ces derniers aient passé tellement de temps dans le monde onirique qu’ils en soient devenus des entités à part entière.

Ce contenu a été publié dans Non classé. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *